Le célèbre influenceur food Paname a faim, alias Elias, pose ses valises en Algérie pour quelques jours, et il en profite pour tester l’un des rares restaurants KFC du Pays.
Spécialiste des bons plans et des adresses incontournables, l’influenceur franco-algérien va voir si le fast-food américain dans sa version algérienne vaut le détour.
5,80 € pour le menu KFC en Algérie
Avec son panache habituel, l’influenceur parisien Elias apparaît dans une nouvelle vidéo TikTok qui cartonne déjà : plus de 311.000 vues en deux jours.
@panameafaim Au KFC en Algerie !
Il y teste le KFC d’El Mohammadia, situé dans le centre commercial City Center, un des deux établissements de l’enseigne américaine en Algérie.
« Aujourd’hui les gars, on va tester le KFC en Algérie ! », lance le créateur de contenu depuis la rue algérienne. Le menu qu’il choisit est un classique du fast-food à 1.450 dinars, soit 5,80 € pour « un burger, un zinger (pièce de poulet pané), des frites, et une boisson ».
S’il apprécie le poulet frit – « bien croustillant, pas du tout sec mais pas assez épicé » –, il reste plus modéré pour les frites, qu’il trouve « basiques ».
C’est surtout la taille du burger qui le surprend : « Je suis choqué ! Regardez la taille du burger. Et il est plutôt bon ».
Pour Elias, la vraie surprise sera le Twister, un sandwich proposé à 700 dinars par l’enseigne, soit 1,80 €.
« J’ai encore faim, et comme il y avait une table à côté, j’ai vu qu’elle avait pris un Twister – wrap poulet. Il était bien long, ça m’a donné envie ! », détaille-t-il dans sa vidéo.
Verdict ? « C’est trop bon ! Le poulet est bon, meilleur que le burger ! C’est même meilleur, c’est frais, bon et juteux », affirme-t-il, conquis.
Son enthousiasme n’est cependant pas partagé par les internautes. Parmi plus de 600 interventions, nombreux sont les commentateurs à s’étonner de voir un établissement KFC en Algérie.
« Il faut boycotter KFC », « Jamais je ne mangerai américain en Algérie », « Il ne devrait pas y avoir de KFC en Algérie », « Quelle déception ! Apparemment, le boycott est à géométrie variable », lit-on sous la vidéo.
